Espace VOS CONTES 1

     Il était une fois, une petite fille qui s’appelait Jade et qui vivait dans la forêt magique. Elle adorait jouer dehors avec ses copines. L’année de ses 6 ans, l’hiver arriva, sauf qu’en avril, au moment de son anniversaire, il neigeait toujours. Personne n’y comprenait rien.
Un jour où Jade alla voir sa grand-mère, celle-ci lui expliqua que l’hiver continuerait tant que l’hirondelle des saisons n’aurait pas fait son nid dans l’arbre d’or, près du lac gelé. Jade dit à sa grand-mère :
_ « Si ce n’est que cela, je me charge de trouver cette fameuse hirondelle ! »
En guise de porte bonheur pour son voyage sa grand-mère lui donna une amulette.
A peine eu-t-elle entamé son chemin qu’elle croisa un cygne qui dormait paisiblement près du lac gelé. Jade n’y prêta pas attention tant elle était occupée à contempler l’arbre d’or désespérément vide.

_ " Bonjour, ça se fait quand même de dire bonjour lorsque l’on croise quelqu’un." Entendit-elle soudain.
Jade se retourna et ne vit personne à part le cygne qui s’approchait d’elle en se dandinant.
_ "  Et tu vas où comme ça, toute seule, petite malpolie ?"  demanda l’étrange animal.
_ " Je vais chercher l’hirondelle des saisons," répondit la fillette. "Mais comment se fait-il que je puisse vous parler ?" ajouta-t-elle.
_ " C’est grâce à l’amulette que tu portes autour du cou," répondit le cygne. " Bon revenons plutôt à cette histoire d’hirondelle, je sais où elle se trouve ; c’est le dragon Ecailles-De-Feu qui la retient prisonnière."
_ " Et où puis-je le trouver ?"
_ " Il vit au cœur de la forêt, mais attention car juste devant sa grotte se trouve un puits sans fond," dit le cygne. " C’est une quête bien dangereuse pour une petite fille, je vais t’accompagner ! Au fait, moi c’est Mistral et toi ?"  interrogea-t-il.
_ "Je m’appelle Jade. Ok, alors allons-y, l’hiver a plus qu’assez duré."

Les deux amis se mirent en route et arrivèrent devant le puits sans fond.
Mistral dit alors à Jade :
_« Montes sur mon dos, on va essayer de voler au-dessus, je ne vois pas d’autre solution. »
La petite fille s’installa sur le dos de l’animal qui prit aussitôt son envol. Une fois de l’autre côté, les deux amis pénétrèrent dans la grotte. Soudain, Ecailles-De Feu apparut.
_ " Qu’est-ce que vous faites chez moi espèces de petits voleurs ?"  grogna-t-il.
_ " Nous sommes venus chercher l’hirondelle des saisons," répondit Jade. "Pourquoi l’as-tu enlevée ?"
_ " Pour que l’hiver dure toujours, parce que je déteste le printemps !" rugit le dragon.
_ " Quoi, mais ce n’est pas possible de ne pas aimer le printemps," s’étonna Mistral.
_ " Je le déteste parce qu’au printemps les humains envahissent mon territoire, ils abattent les arbres et polluent la forêt. Je veux rester tranquille," reprit Ecailles-De-Feu.
Jade réfléchit avant de dire :
_« Et si je te promets d’empêcher les humains de détruire ta forêt et de te déranger, me rendras-tu l’hirondelle ? Si le printemps ne revient pas, les plantes et les animaux vont finir par mourir ! »
 Le dragon parut soudain attristé et reprit d’une voix plus douce : 
_ " C’est vrai, tu as raison, je te fais confiance," dit-il avant de relâcher l’hirondelle.

C’est ainsi que l’hirondelle des saisons pu faire son nid et que le printemps revint.
Et Jade, comment a-t-elle tenu sa promesse me demanderez-vous...
Simplement en inventant de terrifiantes histoires sur les dragons afin qu’aucun humain n’ai plus jamais envie de pénétrer sur le territoire d’Ecailles-De-Feu.
Et c’est depuis ce jour que tout le monde, partout, craint les dragons sans aucune bonne raison…

FIN

     Il était une fois une sirène qui s’appelait Marine. Elle vivait dans la magnifique baie de Beg-Meil et prenait soin de tout son royaume. C’était une merveilleuse reine des océans, adorable et bienveillante. Tous les petits habitants l’adoraient.

A l’arrivée du printemps, elle avait l’habitude de retrouver son ami Valentin, le poisson zinzin, qui revenait lui conter ses aventures extraordinaires de l’hiver. Mais cette année, personne. Inquiète, Marine interrogea ses voisins les crabes, les poissons, les raies, les homards, les oursins, les étoiles de mer, les Bernards-l’Hermite ; mais aucune trace de son ami.

En faisant le tour de son royaume, elle constata tristement que la pollution avait encore augmentée. Des centaines de papiers, canettes et bouteilles plastiques recouvraient les jolis fonds marins. Non loin de là, une très jolie jeune fille se baladait sur la plage les cheveux au vent. Comme tous les jours, elle observait les oiseaux, caressait le sable, et scrutait l’horizon pour voir peut-être une de ses amies les sirènes. Mais aujourd’hui, quelque chose avait changé : malgré le soleil étincelant, ses longs cheveux bouclés ne brillaient plus et le mica ne scintillait plus comme d’habitude.

Soudain, Marine se précipita les larmes aux yeux hors de l’eau :
- Princesse Mathilde ! Cria-t-elle. Aide-moi !!!
Mathilde, affolée, dévala la cale de Beg-Meil :
- Que se passe-t-il Marine ?
- Je n’ai plus de nouvelles de Valentin ! Impossible de le trouver !
- Comment puis-je t’aider ? Demanda Mathilde, inquiète.
Alors, sans rien dire, Marine s’approcha de la princesse et lui caressa délicatement la joue. Dans un tourbillon de paillettes magiques, Mathilde se transforma en une resplendissante sirène. Puis, Marine lui prit la main :
- Maintenant, suis-moi !
Elles plongèrent alors toutes les deux à la recherche de Valentin.

Sous l’eau, les nouvelles allèrent très vite. En peu de temps, tous les habitants se mirent à sa recherche. Mais, Valentin, le poisson zinzin connu pour ses aventures extravagantes restait introuvable. Marine était de plus en plus inquiète. Jamais il n’avait loupé leur rendez-vous annuel du premier Avril.
« Il s’est forcément passé quelque chose de grave ! » pensa-t-elle.

Quelques heures plus tard, Lolo, le chef des dauphins, arriva à vive allure des Glénan. Dans un éclat de bulles, il s’écria :
- Reine Marine, Princesse Mathilde, j’ai trouvé Valentin ! C’est la catastrophe ! Il est coincé dans une canette et je ne parviens pas à le libérer ! Vite ! Venez m’aider !
Tous ses amis se précipitèrent alors à son secours.
Une fois retrouvé et libéré, Valentin expliqua que la pollution avait atteint tous les océans de la planète !

Attristées par cette nouvelle effrayante, la Reine des Océans et la Princesse Mathilde décidèrent d’agir. Elles réunirent tout le royaume de Beg-Meil, et tous ensemble - tritons, sirènes et animaux marins - décidèrent d’unir leurs pouvoirs magiques pour nettoyer la baie.
En quelques heures, sous les rayons du soleil du printemps, le mica étincela de nouveau, les ormeaux retrouvèrent leurs nacres et la surface de la mer scintilla telle une myriade d’étoiles !

Depuis ce jour, chaque premier Avril, Mathilde s’amuse à coller des poissons en papiers dans le dos de ses amis pour leur rappeler l’importance de préserver la nature, en particulier les océans et les plages qu’elle aime tant !

FIN

     Il était une fois, dans une contrée lointaine, une jeune fille appelée Aïra.
Elle détestait les animaux et les menait à la baguette. Pour cela, elle les frappait ou les gardait en cage. Un jour, les animaux mécontents, allèrent voir Nira, l’aigle sacré. Après avoir entendu leurs plaintes, il leur proposa une solution:
_ « Mes chers amis, pour vous venger, je vous propose de lui jeter un sort qui la métamorphosera en animal. Cependant, elle pourra prendre la forme de tous ceux qu’elle a offensés. »
Tout le monde acclama la nouvelle.
Le lendemain, au petit matin, quand Aïra voulut partir jouer avec son amie Nira, elle ne put pas car elle était devenue un lapin. Elle observa sa fourrure et sa petite queue qui ressemblait à un pompon. Elle remarqua alors un petit papier sur lequel était écrit :
_"Si tu veux retrouver ton apparence humaine il te faudra récupérer la bague de vérité qui se trouve dans la forteresse. Pour passer les épreuves tu pourras te transformer en tous les animaux que tu as maltraités."
Le mot était accompagné d’une carte, apparemment  la bague se situait au Nilo :

Après une longue marche, elle se retrouva face à l’étendue bleue. Elle se demanda comment la traverser, quand quelques mots lui revinrent à l’esprit « transformée, animaux, maltraités ».
Elle choisit le poisson rouge qu’elle revoyait mourir hors de son bocal. Elle sauta à l’eau en repensant très fort à son poisson desséché. Dans l’eau elle sentit des petites piqures au cou, des nageoires lui poussèrent, son corps se recouvrit d’écailles, elle était devenue un poisson. Elle nageait extraordinairement vite et au bout d’une heure, elle arrivait à Nilo.

Pour trouver la forteresse ce fut facile, après avoir repris son corps de lapin, elle vit que la place forte se dressait droit devant elle. Devant la forteresse il y avait une pierre qui se dressait très haut. Pour passer elle devait forcément sauter, mais avec quelle animal ?
Soudain elle trouva : le cheval. Elle revit la jeune jument qu’elle frappait et martyrisait, et en un rien de temps elle fut transformée. Elle prit de l’élan et sauta.
Quand elle atterrit de l’autre côté, une autre pierre s’élevait devant elle mais cette fois, on ne pouvait ni sauter par-dessus, ni passer en dessous ou sur le côté. Elle ne pouvait rien faire, pourtant elle réussit à passer grâce à une gentille éléphante qui souleva la pierre le temps qu’elle passe.
Arrivé de l’autre côté, elle se retrouva face à une porte. Dès qu’elle fut devant, la porte s’ouvrit, révélant une statue qui pouvait parler .Elle lui dit
_ «Si tu veux récupérer ton vrai corps, il te faudra réparer le mal que tu as fait ».
Sur ces mots, elle l’envoya dans une prairie toute verte. Soudain plein d’animaux arrivèrent, ils étaient tous blessés. Aïra se remémora les paroles de la statue et comprit tout le mal qu’elle avait fait. Elle prit de longues feuilles et fit des bandages aux animaux qui en avaient besoin. Elle alla leur chercher de l’eau fraîche à la rivière. Puis elle prit une belle bulle de rosée, qu’elle façonna de ses mains. Elle mit tous les poissons dans cette eau miroitante. Quand elle eut fini de soigner les animaux, elle prit le temps de les caresser et dans la fourrure d’un lapin elle trouva LA BAGUE.
Elle la passa à son doigt et redevint une humaine.  Et lorsqu’elle fit un câlin à l’éléphante pour la remercier de son aide,  la bague entra en contact avec l’animal. L’éléphante devint la jeune fille qu’elle était autrefois. Aïra lui demanda son nom. Elle s’était fait une nouvelle amie : Lira.
Maintenant, la forteresse est devenue le royaume des deux amies.

FIN

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                    Chapitre 1 : Le Crépuscule

Au coucher du soleil, j’étais déjà au lit (sans mettre mes pyjamas !) J'avais tellement hâte au lendemain ! Ma mère m'avait promis de m’emmener au sanctuaire '' Loup '' ! Il y avait des loups de toutes les races : blanc, roux, gris, noirs... tout ! Mais, cette nuit, il faisait tout noir. C'était bizarre :
J'avais chaud, mais j'avais froid. J'y voyais clair, puis sombre. Et puis, tout c'est mis a tourner autour de moi et je suis tombée dans un sommeil profond.

                    Chapitre 2 : Les Loups

Je me suis réveillée à la campagne et j'ai sursauté : un LOUP me regardait dans la figure !
– Qui es-tu ? Dis-je.
– Je m'appelle Laïka ! dit-le loup, puis il ajouta :
– Et toi ?
– A... Azur, dis-je.
J'avais peur ! Je voulais voir un loup de près, mais pas si près que ça !
– Salut A Azur ! Tu est dans le monde des loups !
– Non, pas A Azur ! Azur ! je corrige.
– Ah ! Mes excuses...et... tu ressembles à une humaine, mais avec des oreilles et une queue de loup, et des ailes de dragon ?
Je mets mes mains sur ma tête et tâtonne...MES OREILLES !! C'est vrai ! La queue aussi ainsi que les ailes.. enfin, les ailes, j'ai du mal à toucher mais en tournant ma tête je confirme !
– Et où as-tu eu ce joli collier ? dit Laïka.
– C'est ma grand-mère qui me l'a donné. Elle est morte l'année dernière. Depuis, je ne l'enlève jamais sauf pour dormir. C'est la première fois que je le garde la nuit.
– Viens voir le reste de la meute ! Tu vas les aimer c'est sur !

                    Chapitre 3 : La Meute

Je n'en reviens pas. De plus en plus étrange mais bizarrement il y a une partie de moi qui se sent plus que jamais a sa place. La nuit est sombre des nuages obscurent la pleine lune. Il doit faire froid, mais j'ai chaud. Dans la nuit profonde, je vois clair. Une sensation de calme et de quiétude se répand dans tout mon corps. En silence, je rencontre le clan. Je cherche, en vain, à distinguer l'Alpha, mais Laïka m'explique que c'était une louve qui les dirigeait jusqu'à sa mort il y a un an environ et qu'ils attendent l'arrivée d'un nouvel alpha. Ils me montrent leur territoire vaste et silencieux. On marche ensemble sans avoir besoin de mots. Enfin, on arrive au sommet d'une colline et le ciel s’éclaircit.
Sous la nuit étoilée, les loups m'apprennent à hurler à la lune. Au début, j'ai du mal à me lâcher peur d'avoir l'air débile mais enfin je ferme mes yeux et je m'abandonne, gorge déployée.
– AOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU... !

                    Chapitre 4 : L'Aube

– AZUR ! MAIS CESSE CE BRUIT S'IL TE PLAÏT ! Que-ce qui te prends ?! Je sais que nous allons voir les loups aujourd'hui mais ce n'est pas une raison ! Tu vas réveiller tout le voisinage !
C'est ma mère ! Je suis à nouveau dans mon lit ! Plus de queue, plus d'oreilles de loup, plus d'ailes de dragon ! Ce n'était qu'un rêve ! Mais quand je me débarrasse de ma couette pour me lever, je vois mes pieds nus tout sales, comme si j'ai marché à travers le bois toute la nuit.
– Alors, crie maman du couloir, hâte de voir les loups au sanctuaire ?
– Oui, maman !
Mais en regardant le collier autour de mon cou, je me dis que j'ai encore plus hâte de revoir mes nouveaux amis ce soir !

                    FIN

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          Il était une fois, un héros qui s’appelait Super Ponpon.  
Il avait une fiancée nommée Super Ponpette. Elle fût prisonnière du Grand Dragon du désert, aux dents pointues, à la langue visqueuse et aux pattes immenses,  dans un château à l’autre bout du désert. Super Ponpon décida de partir à la recherche de son amoureuse. Il partit en direction du désert de la terreur. Il emporta avec lui, une bouteille d’eau,  des carottes, des choux et des choux de Bruxelles pour se nourrir et surtout son lance-croquet pour se défendre.
Il marchait déjà depuis longtemps, quand tout à coup depuis les dunes des missiles commençaient à l’attaquer mais heureusement Super Ponpon avait son Lance Croquet, alors il se mit à tirer des fusées  vers les méchants. Il continua son chemin, et voilà qu’un cyclone tourbillonnant sur place voulut l’avaler. Il courut le plus vite possible, et se mit à voler avec sa cape magique. Il se remit en route et voilà que de nouveaux pièges arrivèrent… Plein de trous dans le sable ! A l’intérieur se trouvaient plein de petits scorpions. Notre petit héros, reprit sa cape magique et l’ouvrit en grand pour en faire sortir un gigantesque tapis qui boucha les trous et lui permit de continuer son chemin.
Tout à coup, il leva le nez et aperçut le château au loin qui se rapprochait mais les gardes veillaient. Super Ponpon appela son ami, Al le serpent, grâce à son téléphone sorti tout droit de sa cape ! Son ami arriva, et notre héros sortit de nouveau son Lance croquet pour tirer sur les gardes qui tombèrent. Puis, il vit le Dragon du Désert, bleu foncé avec une énorme queue noire.  Son ami Al, hypnotisa le Dragon du désert avec ses yeux, puis Super Ponpon tira sur le Dragon avec son super outil. Il s’écroula complètement par terre, avec son poids énorme le château commença à s’effondrer. Al et Super Ponpon, virent la cage où se trouvait Super Ponpette, ils prirent les clés sur le dragon puis ouvrirent la cage pour libérer notre jolie Ponpette. Ponpon embrassa son amoureuse et ils rentrèrent chez eux. 

Fin.

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          Il était une fois, une jolie jeune fille qui s’appelait Iris. Elle se promenait dans la rue près du hangar où elle rangeait sa vieille voiture. Elle décida de s’y arrêter pour la nettoyer afin de partir en balade. Quand elle poussa la porte, elle sentit quelque chose de bizarre, le sol tremblait. Au milieu de la pièce, un tourbillon gris tournait très vite d’où apparurent deux êtres maléfiques nommés Méphisto et Emilie qu’elle connaissait bien. Ils avaient dans les mains le magnifique diamant rouge appartenant aux parents de la jeune Iris. La colère monta et elle se transforma en princesse aux pouvoirs magiques. La bataille pouvait commencer….
Des cristaux rouges et verts commencèrent à tomber du ciel, elle fit apparaitre sa baguette magique pour les repousser. Les deux méchants lui jetèrent des piques dangereux qui se plantaient et formaient un pont infranchissable. Pour éviter le danger elle sauta en l’air et fit une roulade dans les airs pour atterrir saine et sauve sur le sol. Son fidèle compagnon Amarou le chat, lui se transformait en cheval ailé quand sa maîtresse était en danger. Il apparut là devant elle.
Elle monta sur son dos et ils s’envolèrent dans le ciel étoilé. Elle prit son élan pour faire un saut et jeter un sort à l’aide de sa baguette. Elle transforma Méphisto en plante carnivore et Emilie en fleur poison. Malheureusement, le diamant resta dans la plante carnivore et pour le sortir il fallait qu’Iris réussisse à faire manger la fleur poison à la plante. Elle prononça alors la formule magique : « SORDELAOUVRELABOUCHE », et elle dirigea la fleur vers Méphisto, celui-ci ouvrit la bouche et croqua dans la fleur, il se fana immédiatement libérant ainsi le diamant. Elle récupéra la pierre précieuse et monta dans sa vieille voiture pour enfin aller se balader.

Fin

          Il était une fois, dans une petite chaumière, une jeune fille qui s’appelait Anaëlle. Partout dans le pays, il y avait du bonheur. Comme tous les matins, les habitants se réunissaient pour regardez passer dans le ciel le papillon du bonheur.

Le papillon du bonheur avait de très belle couleur, il était jaune, orange, violet et bleu. Ce jour ci le papillon du bonheur n’était pas passé et tout le monde était plongé dans le malheur. A la place du joli papillon, un papillon noir et blanc avait fendu le ciel. Anaëlle était très triste de voir tout le monde malheureux. Elle ne savait pas comment stopper le malheur, alors elle décida de chercher des informations. En chemin elle rencontra un aigle :

« Bonjour M. L’aigle, comment allez-vous ? 
-Je vais bien, et toi ?
-Moi aussi je vais bien, merci
- Que viens-tu faire ici ?
-Je suis venu ici pour savoir pourquoi le papillon du bonheur n’est pas venu ce matin
-Mhh, il est victime d’une malédiction 
-Une malédiction !!? Comment la briser ?
-Il faut trouver le bonheur dans le malheur »
Et sur ces mots il parti. Anaëlle prit le chemin du retour et durant toute sa marche se répéta les mots de l’aigle. C’est quand elle arriva chez elle qu’elle comprit. Quand il se mit à pleuvoir et que tout le monde était triste de ne pas pouvoir aller dehors elle dit :

Malheureusement, à la moitié du film l’électricité coupa. Alors Anaëlle proposa une nouvelle occupation :

Elle sortit les petits chevaux et c’est comme ça que toute l’après midi, elle lutta contre la tristesse et le malheur. 
Le lendemain (et elle fut la seul) elle courut dehors. Quand elle leva la tête, à travers les rayons du soleil, elle aperçut le papillon du bonheur.

.FIN

          Il y a longtemps une jeune fille qui s'appelait Marie. Un soir, sa maman lui lit une histoire puis, lui fait un bisou et elle part. Elle entend un bruit dans son jardin, elle est toute tremblante. Elle regarde à la fenêtre dans son jardin. Il y a une petite cabane. Elle voit un carreau cassé à sa cabane. Puis, elle revient dans son lit.

Le lendemain matin, elle repense à la cabane et elle demande à sa maman si elle a entendu un bruit cette nuit. La maman dit « non ». 

Après l'école, sa maman n'est pas là donc elle ira dans le jardin. L'école est finie, Marie rentre à sa maison et va dans le jardin. Elle entend des petits bruits, elle va dans la cabane. Et là, son rêve se réalise : elle voit une licorne qui parle ! 

La licorne lui dit que tous les rêves se réalisent.

FIN

      Il était une fois une ville de chats et de lapins entourée par la forêt magique. Là vivent les chats et les lapins sans problèmes ni disputes. Ils étaient très heureux jusqu’au jour où un génie-lapin a dit :
_ « Les chats vont manger tous les lapins. »

Les lapins ont eu peur et ont décidé de déménager très rapidement. Quelques années plus tard tous les lapins ont construit la jolie ville de leurs rêves. Parmi les habitants de cette ville il y avait une famille formidable ; les Lapinousse. La maman s’appelle Angèle, le papa s’appelle Max. Ils ont trois enfants ; la fille aînée Jeanne, son frère Félix et la petite lapinette.

Lapinette est une très gentille et adorable lapine. Elle aime jouer avec ses amies, faire des promenades avec sa famille et inventer des histoires.

Un jour Lapinette se réveille, tôt le matin, avec le pressentiment que dans la journée il y aura des choses incroyables pour elle. Elle a pris son petit déjeuner assez rapidement et décide de sortir de la maison pour aller à la rencontre des aventures.

Lapinette se promène vers la forêt quand elle encontre un oiseau qui vole vers elle. Elle s’arrête et dit à l’oiseau :
_ «  Bonjour joli oiseau, je m’appelle Lapinette, et toi comment t’appelles-tu ? »
_  «  Je m’appelle Dodo. »
_ «  Pourquoi volais-tu ? »
_ «  Parce que j’ai le droit et que je le peux. »
_ «  Et ou vas-tu ? »
_ «  Dans la ville des chats ! » Dit dodo.
_ «  Peux-tu me montrer le chemin vers cette ville ? » Lui demanda Lapinette.
_ «  Oui, pas de souci ! » Annonça-t-il.
Lapinette et Dodo sont partis ensemble en passant par la forêt vers la ville des chats. Après deux heures de marche, ils sont arrivés dans cette ville, où ne vivent que des chats. Un chat s’approcha d’eux et dit :

_ «  Bonjour je m’appelle Téophe, et vous qui êtes-vous ? »
_ «  Bonjour, moi c’est Lapinette et je suis une lapine, et mon ami oiseau s’appelle Dodo. »
_ «  Une lapine ! » s’exclame Téophe, «  Mais, moi, je suis un chat ! »
_ «  Un chat ! » répète Lapinette étonnée.
_ «  Que venez vous faire ici ?  Est-ce que je peux jouer avec vous ? »
_ «  Oui . Mais … »
_ «  Mais quoi ? » rétorqua Téophe à Lapinette.
_ «  Je pense à ma famille qui me manque » soupira Lapinette ;
_ « J’ai des affaires à finir, bonne route Lapinette. » dit Dodo qui s’envola vers le centre-ville. 

Lapinette s’en va. Téophe a décidé de la suivre et lui demande :
_ «  Veux-tu retourner chez toi ? »
_ «  Oui. Mais il est très tard. »
_ «  J’habite à côté, veux-tu jouer avec moi et demain matin je te ramènerai chez toi. »
_ «  C’est très gentil de ta part Téophe ! »

En marchant vers la maison de Téophe ils se sont beaucoup amusés, ils ont joué et ils ont rigolé…
_ «  Nous devons trouver une solution  pour réconcilier les lapins  et les chats  afin qu’ils puissent vivre comme avant dans la même ville. »
_ «  Oui, mais comment ? » rétorqua Lapinette …
_ «  On va trouver la solution demain matin. Bonne nuit mon amie Lapinette.
_ «  Bonne nuit Téophe, tu es mon meilleur ami. »

Les deux amis vont trouver la solution car rien n’est plus fort que l’amitié dans le monde. 

Depuis beaucoup de temps a passé, mais les chats et les lapins ont oublié les disputes et les mensonges et vivent en paix ensemble.

FIN

          Il était une fois une dame qui s'appelait Riline. Elle avait trois chats : un gris, un roux et un noir. Elle avait aussi un voisin qui s'appelait Marco, c'était un petit garçon âgé de 11 ans. Il était très intrigué par les chats. « Ces chats sont très bizarres ! ». 

Un soir que Marco regardait les chats, le roux lui a fait un clin d'oeil. Un après-midi, le noir fixait Marco d'un air méchant. Un matin, quand Marco marchait sur le trottoir, il le suivait. Le gris, bien-sûr !

Marco a décidé d'aller chez madame Riline. Le lendemain matin, Marco va chez elle. Il toque fort. Puis quand madame Riline ouvre la porte, elle lui dit « Que fais-tu ici, Marco ? » .
Il répond « Je veux vous dire que vos chats sont très bizarres. 

Madame Riline prend un long bâton, puis miracle, une lueur bleue sort de ce bâton. Il a tout de suite compris : madame Riline n'était pas madame Riline mais « sorcière » Riline !

Puis, la sorcière le prend par l'épaule et le fait rentrer chez elle. La sorcière lui explique son histoire et devient toute méchante. Elle dit « Sors de chez moi et ne dis rien ! »

Marco réfléchit et dit « Pourquoi vous êtes méchante ? » La sorcière avoue que c'est depuis que sa sœur est morte. Marco comprend qu'elle préfère être méchante que triste. Il dit à la sorcière que d'être méchant, on est seul et on est triste quand même. 

Alors la sorcière dit à Marco « Tu veux bien être mon ami ? » Il dit « oui » et chaque matin, il fait des tours de magie avec elle et les chats ronronnent.

FIN